Version française / Groupes de recherche et projets thématiques
- Recherche - LLS,
L'humain et son rapport au vivant dans les écrits et les arts
Publié le 25 juin 2025
–
Mis à jour le 25 juin 2025

Le lancement de ce séminaire ouvert à toutes les disciplines est né d’interrogations sur la manière de penser la crise environnementale à travers nos objets d’étude.
Il nous est apparu que pour les chercheurs du CREA et d’ailleurs et pour les étudiants de master ou de doctorat, en particulier, il serait fructueux de lancer un séminaire de lectures théoriques sur cette question qui est à présent au cœur de nos quotidiens, afin de voir comment nos recherches peuvent s’éclairer et se déplacer au regard du décentrement de l’humain qu’exige cette crise pour être pensée. Nous avons choisi à partir de nos lectures de tirer un premier fil, celui de la manière dont l’humain considère le vivant dans son environnement et dont il s’y relie.
Nous souhaitons en effet travailler de manière collective au sein de ce séminaire, chaque personne apportant et partageant, si elle le souhaite, sa bibliographie, de manière à sélectionner ensuite les ouvrages qui seront lus et présentés au fil des séances. L’idée fondatrice est de croiser les sources et les approches afin de travailler en interdisciplinarité afin de mieux penser la vision de l’environnement forgée par l’occident depuis l’époque moderne.
Nous proposons donc de couvrir un champ historique large allant de la première modernité jusqu’à l’époque contemporaine. La thématique allie à la fois le questionnement sur la matérialité de l’écrit- littéraire ou non- et la matérialité artistique ainsi que la place des sciences sociales dans un monde (ou des mondes) en crise(s).
Nous entendons, par le biais des lectures théoriques, puiser dans les apports des sciences exactes, des sciences humaines et sociales (anthropologie, sociologie, histoire, philosophie) pour mieux situer le rôle des textes et des arts face à la crise environnementale. Ce projet vise à explorer les représentations littéraires, philosophiques et esthétiques de cette crise et d’en analyser la portée, afin de trouver des outils pour reconceptualiser la place des humains au sein du vivant, prolongeant les apports de l’éco-critique.
Le premier ouvrage proposé pour ouvrir la réflexion s’intitule *Apprendre à voir. Le point de vue du vivant*, de Estelle Zhong Mengual, publié chez Actes Sud en 2021. Spécialiste des beaux- arts, Estelle Zhong Mengual y propose une réflexion complexe sur la manière de regarder et d’interpréter le statut des vivants dans les tableaux de peinture, en s’appuyant notamment sur les travaux de l’anthropologue Philippe Descola et du philosophe Baptiste Morizot.
Il nous est apparu que pour les chercheurs du CREA et d’ailleurs et pour les étudiants de master ou de doctorat, en particulier, il serait fructueux de lancer un séminaire de lectures théoriques sur cette question qui est à présent au cœur de nos quotidiens, afin de voir comment nos recherches peuvent s’éclairer et se déplacer au regard du décentrement de l’humain qu’exige cette crise pour être pensée. Nous avons choisi à partir de nos lectures de tirer un premier fil, celui de la manière dont l’humain considère le vivant dans son environnement et dont il s’y relie.
Nous souhaitons en effet travailler de manière collective au sein de ce séminaire, chaque personne apportant et partageant, si elle le souhaite, sa bibliographie, de manière à sélectionner ensuite les ouvrages qui seront lus et présentés au fil des séances. L’idée fondatrice est de croiser les sources et les approches afin de travailler en interdisciplinarité afin de mieux penser la vision de l’environnement forgée par l’occident depuis l’époque moderne.
Nous proposons donc de couvrir un champ historique large allant de la première modernité jusqu’à l’époque contemporaine. La thématique allie à la fois le questionnement sur la matérialité de l’écrit- littéraire ou non- et la matérialité artistique ainsi que la place des sciences sociales dans un monde (ou des mondes) en crise(s).
Nous entendons, par le biais des lectures théoriques, puiser dans les apports des sciences exactes, des sciences humaines et sociales (anthropologie, sociologie, histoire, philosophie) pour mieux situer le rôle des textes et des arts face à la crise environnementale. Ce projet vise à explorer les représentations littéraires, philosophiques et esthétiques de cette crise et d’en analyser la portée, afin de trouver des outils pour reconceptualiser la place des humains au sein du vivant, prolongeant les apports de l’éco-critique.
Le premier ouvrage proposé pour ouvrir la réflexion s’intitule *Apprendre à voir. Le point de vue du vivant*, de Estelle Zhong Mengual, publié chez Actes Sud en 2021. Spécialiste des beaux- arts, Estelle Zhong Mengual y propose une réflexion complexe sur la manière de regarder et d’interpréter le statut des vivants dans les tableaux de peinture, en s’appuyant notamment sur les travaux de l’anthropologue Philippe Descola et du philosophe Baptiste Morizot.
Mis à jour le 25 juin 2025