Version française / Publications
- Libellé inconnu,
Le sexe de la ville : identités, genre et sexualités dans la ville états-unienne
Sexe, genre et sexualités imprègnent l’espace de la ville états-unienne
Publié le 11 septembre 2020 – Mis à jour le 26 octobre 2020
Laurence Gervais- Syllepse
Sexe, genre et sexualités imprègnent l’espace de la ville états-unienne.
L’autrice élucide un paradoxe: la ville est à la fois émancipatrice et castratrice. Elle nous emmène à la découverte des effets de la globalisation, de l’urbanisme néolibéral, de la gentrification, du « nouvel urbanisme » et des stéréotypes de genre sur la ville, notamment à Chicago.
Entretiens et réflexions de géographes féministes anglo-saxonnes, trop ignorées en France, nous permettent de comprendre la relation entre sexe et ville.
Chemin faisant, ce livre nous dévoile les nouvelles divisions genrées qui se déploient au détour de nos rues. Celles-ci ont des effets sur la propriété foncière, sur l’architecture, sur les magasins, le mobilier urbain, les cafés, etc.
Il pose également la question de la résistance au pouvoir normatif de la ville. Y a-t-il un pendant émancipateur à ce pouvoir? Est- il possible d’apporter le «trouble» dans le genre de la ville ?
Laurence Gervais est professeure à l’Université Paris 10-Nanterre, elle codirige le groupe « Politiques américaines ». Elle a publié La Privatisation de Chicago (Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2013).
L’autrice élucide un paradoxe: la ville est à la fois émancipatrice et castratrice. Elle nous emmène à la découverte des effets de la globalisation, de l’urbanisme néolibéral, de la gentrification, du « nouvel urbanisme » et des stéréotypes de genre sur la ville, notamment à Chicago.
Entretiens et réflexions de géographes féministes anglo-saxonnes, trop ignorées en France, nous permettent de comprendre la relation entre sexe et ville.
Chemin faisant, ce livre nous dévoile les nouvelles divisions genrées qui se déploient au détour de nos rues. Celles-ci ont des effets sur la propriété foncière, sur l’architecture, sur les magasins, le mobilier urbain, les cafés, etc.
Il pose également la question de la résistance au pouvoir normatif de la ville. Y a-t-il un pendant émancipateur à ce pouvoir? Est- il possible d’apporter le «trouble» dans le genre de la ville ?
Laurence Gervais est professeure à l’Université Paris 10-Nanterre, elle codirige le groupe « Politiques américaines ». Elle a publié La Privatisation de Chicago (Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2013).
Mis à jour le 26 octobre 2020